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DEJEAN Pierre(1775-1845) était le gendre de Jean Baptiste Peyjehan, Inspecteur des semis en 1801, l’adjoint de Brémontier.Il avait en effet épousé sa fille, Marie, en 1797, le 5 Floréal An V. En 1803, à la suite du décès de Peyjehan, c’est lui qui le remplaceOn lui doit en particulier un état des semis effectués de 1887 à 1832.Il habitait place Jean Hameau, à l’angle des rues Victor Hugo et de Verdun (actuellement rue P.Dignac)

On voit sur la droite de la carte postale, (photo ci dessus)l’ancienne demeure de la famille Baleste Marichon ( photo ci dessous )construite à la fin du XVII° siècle. Elle a été détruite, il y a peu, pour faire place à l’immeuble appelé d’un nom qui n’a rien à voir avec le pays : «les Olympiades ».

HAMEAU Jean      (16-02-1896)                             Ancienne place de Labi ou Lavie (1785). Ce  nom du quartier cadastré en 1810 vient de  la maison noble de Lavie, en Born, (titre réservé aux cadets des Caupos dont les jardins de la maison jouxtaient la place). Ce fut ensuite la  Place Marat ,du nom du rédacteur de l'Ami du Peuple, (1793-1794),assassiné par Charlotte Corday. On y planta le 8 Décembre 1793, (18 frimaire An 2), un "arbre de la liberté" qui fut renversé par un char à bœufs conduit par le citoyen....Bouvier, le 22 Janvier 1798 (2 pluviôse An 6).Terrain vague à la rencontre de 3 chemins, proche du marché aux résines, on y planta, en 1821, un "quarteron d'arbres disposés en quinquonces formant un triangle de 6 à 7 mètres de côté", au centre duquel s'élevait le Mai de la commune qui fut ceinturé par une chaîne de fer le 15 Mai 1848. Elle prit alors le nom d' allées de Tournon (10 Octobre 1821) puis le 13 Février 1847 de Place de Tournon. (voir ce mot)Rendez-vous de chasse à courre en 1852, elle devint place Peyjehan en 1855 et enfin  place              Jean Hameau.                                                                                                                         Jean Hameau, né à La Teste le 5-10-1779 (sa maison natale, rue de Francon, porte une plaque) est mort le 1-9- 1851. Il habita de 1791 à 1824,au 22 rue du quatorze Juillet dans une maison achetée par son père et résida de 1824 à 1854 dans l'actuelle Mairie, propriété de son beau père Fleury. Il revint ensuite habiter la maison familiale de 1844 à 1851.Il présente en 1807 une thèse sur « La topographie physico médicale de La Teste de Buch », en 1829, deux mémoires sur une maladie de peau la « pellagre », il publie en 1837 une "Réflexion sur les virus" et en 1841 une "Etude sur les puits filtrants des Landes". Il est présenté souvent comme un précurseur de  Pasteur.La place Jean Hameau avec, à droite, la statue  (AM La Teste)  En 1899, un emprunt de 2000 francs fut souscrit pour lui consacrer une statue qui, œuvre du sculpteur Gaston Leroux, pesant 387 kilos fut amenée de Bordeaux le 21 Mai 1900. Sur un socle en marbre des Pyrénées, Jean Hameau était représenté assis sur un fauteuil de bronze . Inaugurée le 27 Mai et placée au milieu de la place, elle fut fondue pendant la dernière guerre par les Allemands (1941), mais un moulage du buste avait été heureusement réalisé.                           Buste de Jean Hameau                                                                                                                                                                      (photo R.Aufan)                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                           En 1962, son nouveau buste fondu à Bordeaux par la Maison Dormoy, fut inauguré le 1er Juin à 18 heures, mais ne retrouva pas le centre de la place désormais envahie par les automobiles, il fut installé sur la placette derrière la Maison Lalanne.Lors de la construction de l'immeuble qui a remplacé l'ancienne Salle des Fêtes, il fut déplacé dans le "parc Jean Hameau", situé sur l'emplacement de la maison qu' habitait Mme De Salles de Hys, où, en 1611, fut construite une maison appartenant à Peyjehan.  

Le patronage Sainte Eulalie fondé en 1891 à Bordeaux prit le nom de "Coqs rouges" en 1901 C'est en 1927 qu'il acheta  le domaine de Brameloup, pour remplacer sa  colonie de vacances située dans  la villa Titati à l'Aiguillon.  La colonie de Brameloup (Ph. Coqs rouges)1978 après 50 ans d'activitésMaintenant occupé par le CCASl ' Epicerie , le vestiaire populaire et autres .

1841 – 1951 un siècle d’histoire de l’école maternelle ouverte sur la demande du curée Marty, deviendra l’école maternelle en 1881, devenue laïque en 1885.

maison classée   " le corbusier"

 Quelques vues

  du  Moulleau